Mood
M o o d est née dans une famille de musiciens au
«Sudio Osiris» qui accueilla une large scène jazz et
chante depuis quʼelle est toute jeune.
Elle travaille le chant lyrique, le chant indien, lʼimprovisation vocale, formée au chant classique dʼinde du nord « Dhrupad » et à la musique Arabo Andalouse.
M o o d étudie à la fac de musicologie de Rennes 2 et empoche un DUMI ainsi quʼun DE chant musique Actuelles, en parallèle de ses études Mood monte successivement deux groupes : L'EFFET DEFEE (rock expérimental) et OLLI & MOOD. Elle intègre
egalement la «Kreizh Breizh Akademi» dʼErik Marchand dédiée à lʼétude des musiques
modales, ayant comme professeur Titi Robin, Svetlana Spajic, Fawas Beker et Helene
Labarriere.
Aujourdʼhui, ses bagages sont multiples et sa musique pleine de voyages.
Puis depuis 2012, sous son nom propre, M o o d multiplie ses textures vocales:
Avec DO OM, sa premiere création en quintet, entre musique du monde et expérimentations sonores, lʼartiste joue de sa voix comme dʼun instrument à cordes : elle chante, souffle, crie et vocalise. Une voix aventureuse quelque part entre Nosfell, Björk, Susheela Raman ou Meredith Monk... Les textes sont écrit en français miroir “une manière de susciter lʼimaginaire des gens, dʼêtre simplement dans le sensible, la poésie des sons” explique m o o d.
Ce langage dépourvu de référentiel géographique invite l'auditeur à se laisser porter, toucher par lʼemotion des sonorités. L'auditeur est libre de faire son propre voyage. Son premier album «do om» sorti le 2 Juin 2014 distribué dans tous les bacs par lʼAutre distribution est classé coup de coeur Fnac qui la surnomme «la voix de lʼémotion, lʼétonnante Björk indienne ».
M o o d joue aussi de lʼharmonium indien, identifié comme un instrument de musique traditionnelle pour la musique hindoustani, évoquant"fortement une tradition, une culture et une histoire. Pour autant, m o o d entend montrer que cet instrument peut sʼaffranchir de la culture traditionnelle, tout en la défendant, pour inventer et composer de nouveaux répertoires, de nouvelles formes musicales. Cela nous emmène vers un ailleurs, au-delà des frontières qui délimitent genres et styles.
M o o d a eu la chance de travailler avec plusieurs de ces modèles: avec Meredith Monk, Akosh S,
Secret Chiefs 3.
Joachim Florent est né en 1979 à Schaerbeek – Belgique. Artiste aux centres d'intérêts multiples,
Joachim a étudié à l'ENM de Villeurbanne parallèlement à des études scientifiques, puis au CNSM
de Paris au sein du département jazz.
Musicien singulier, il est le bassiste du trio Jean Louis avec Aymeric Avice et Francesco Pastacaldi. Il joue également au sein d'Impérial quartet et la compagnie Imperial. Il a fondé avec Benjamin Flament les ensembles MetaL-O-PHoNe et Radiation10, éléments moteurs du collectif coax. Son gôut pour l'aventure et le renouveau l'amène à collaborer avec des musiciens finlandais tels qu'Aki Rissanen, mandingues au sein de l'impérial pulsar ou encore la musique contemporaine du quatuor bela. Récemment installé à Nantes, Joachim y travaille notamment aux côtés de la chanteuse Maud Trutet.
En 2007, Il a obtenu le 1er prix d'instrumentiste au concours de la défense, et également les 2 premiers prix de groupe (Radiation10 et Jean Louis). Qu'il joue complètement acoustique ou qu'il transcende la contrebasse grâce à l’amplification, il est régulièrement invité à se produire en solo (Paris Bass 2008, Le Mans Europa Jazz 2012) et participe avec le garden trio à la musique du dernier film de Coline Serreau – solutions locales pour un désordre global.
Elle travaille le chant lyrique, le chant indien, lʼimprovisation vocale, formée au chant classique dʼinde du nord « Dhrupad » et à la musique Arabo Andalouse.
M o o d étudie à la fac de musicologie de Rennes 2 et empoche un DUMI ainsi quʼun DE chant musique Actuelles, en parallèle de ses études Mood monte successivement deux groupes : L'EFFET DEFEE (rock expérimental) et OLLI & MOOD. Elle intègre
egalement la «Kreizh Breizh Akademi» dʼErik Marchand dédiée à lʼétude des musiques
modales, ayant comme professeur Titi Robin, Svetlana Spajic, Fawas Beker et Helene
Labarriere.Aujourdʼhui, ses bagages sont multiples et sa musique pleine de voyages.
Puis depuis 2012, sous son nom propre, M o o d multiplie ses textures vocales:
Avec DO OM, sa premiere création en quintet, entre musique du monde et expérimentations sonores, lʼartiste joue de sa voix comme dʼun instrument à cordes : elle chante, souffle, crie et vocalise. Une voix aventureuse quelque part entre Nosfell, Björk, Susheela Raman ou Meredith Monk... Les textes sont écrit en français miroir “une manière de susciter lʼimaginaire des gens, dʼêtre simplement dans le sensible, la poésie des sons” explique m o o d.
Ce langage dépourvu de référentiel géographique invite l'auditeur à se laisser porter, toucher par lʼemotion des sonorités. L'auditeur est libre de faire son propre voyage. Son premier album «do om» sorti le 2 Juin 2014 distribué dans tous les bacs par lʼAutre distribution est classé coup de coeur Fnac qui la surnomme «la voix de lʼémotion, lʼétonnante Björk indienne ».
M o o d joue aussi de lʼharmonium indien, identifié comme un instrument de musique traditionnelle pour la musique hindoustani, évoquant"fortement une tradition, une culture et une histoire. Pour autant, m o o d entend montrer que cet instrument peut sʼaffranchir de la culture traditionnelle, tout en la défendant, pour inventer et composer de nouveaux répertoires, de nouvelles formes musicales. Cela nous emmène vers un ailleurs, au-delà des frontières qui délimitent genres et styles.
M o o d a eu la chance de travailler avec plusieurs de ces modèles: avec Meredith Monk, Akosh S,
Secret Chiefs 3.
Clement Janinet
Après des études classiques au CNR de Chalon-sur-Sâone, Clément Janinet intègre le CMDL puis le département Jazz et Musiques improvisées du CNSMDP duquel il obtient un prix en 2007.
Passionné par les musiques africaines et sud-américaines, il multiplie les rencontres et les voyages, et effectue sur son violon tout un travail autour de ces musiques traditionnelles. Il s'en inspire pour développer ses propres techniques qu’il intègre dans le jazz et les musiques improvisées, et qui lui confèrent un jeu et un son si singulier.
Il a joué entre autres aux côtés d'Antoine Hervé, Ricardo del Fra, Sylvain Rifflet, Gilles Coronado , hank bennink , Ramon Lopez, Mark Turner , françois Méchali, et dans les musiques du monde aux côté de Mauro Palmas ,Richard Bona, Orchestra do Fuba, Cheik Tidiane seik, Simon Winse, Akale Wube ...
Il évolue actuellement au sein du groupe Radiation 10 et du garden trio avec qui il a collaboré à la composition de la bande originale du film « solutions locales pour un désordre global » de Coline Serreau en 2010. Il joue avec Étienne Mbappé dans sa formation Su la také depuis 2007, et fait partie depuis 2012 de la troupe de théâtre du Crocodile Trompeur / Didon et Enee qui a reçu le Molière du meilleur spectacle de théâtre musical en 2014
Joachim Florent
Joachim Florent est né en 1979 à Schaerbeek – Belgique. Artiste aux centres d'intérêts multiples,
Joachim a étudié à l'ENM de Villeurbanne parallèlement à des études scientifiques, puis au CNSM
de Paris au sein du département jazz.
Musicien singulier, il est le bassiste du trio Jean Louis avec Aymeric Avice et Francesco Pastacaldi. Il joue également au sein d'Impérial quartet et la compagnie Imperial. Il a fondé avec Benjamin Flament les ensembles MetaL-O-PHoNe et Radiation10, éléments moteurs du collectif coax. Son gôut pour l'aventure et le renouveau l'amène à collaborer avec des musiciens finlandais tels qu'Aki Rissanen, mandingues au sein de l'impérial pulsar ou encore la musique contemporaine du quatuor bela. Récemment installé à Nantes, Joachim y travaille notamment aux côtés de la chanteuse Maud Trutet.
En 2007, Il a obtenu le 1er prix d'instrumentiste au concours de la défense, et également les 2 premiers prix de groupe (Radiation10 et Jean Louis). Qu'il joue complètement acoustique ou qu'il transcende la contrebasse grâce à l’amplification, il est régulièrement invité à se produire en solo (Paris Bass 2008, Le Mans Europa Jazz 2012) et participe avec le garden trio à la musique du dernier film de Coline Serreau – solutions locales pour un désordre global.
Mario Boisseau
Après un premier prix de violoncelle au conservatoire de Nevers, il se consacre à la
pratique de l’improvisation libre et collabore avec le metteur en scène Jean Bosko. Egalement contrebassiste, il accompagne la chanteuse Nadia Rouabeh (premières parties de Idir, ONB, Femi Kuti). Il joue ensuite aux cotés de Benjamin Flament, cheville ouvrière du Collectif COAX, de Radiation 10 (1er prix Jazz à la défense 2007), du Garden Trio et de Manu Codja (concert à l’opéra de Lyon en 2008).
Il se produit régulièrement dans le cadre de performances de plasticiens tels que l'artiste brésilen Tunga (à la galerie Templon en 2006) ou lors des expositions et installations de l'artiste Sarah Barthélémy-Sibi.
Aujourd'hui, il partage sa vie entre le violoncelle et l'exercice de la médecine (médecin des hôpitaux de Paris).
